Pourquoi tu restes coincé alors que tu sais exactement quoi faire ?

Tu sais ce que t’as à faire. Sérieusement. Tu le sais. C’est pas un putain de mystère. T’as lu les bouquins, maté les vidéos, écouté les podcasts. Tu SAIS qu’il faut te lever plus tôt. Tu SAIS qu’il faut bosser sur ton projet au lieu de scroller Instagram. Tu SAIS qu’il faut dire non à ces trucs qui te grignotent ton temps comme des rats affamés. Et pourtant… t’es là. Coincé. Comme un lion en cage qui tourne en rond. Pourquoi ? Parce que savoir n’a jamais suffi. Et ça, personne ne te l’a dit.

La vérité ? Ce qui te bloque, c’est pas le manque d’informations. C’est le manque de putain d’engagement émotionnel. Parce que ouais, l’envie, c’est joli. Mais ça crame vite. Ce qu’il te faut, c’est un feu qu’on n’éteint pas avec trois gouttes de pluie. Imagine : t’es sur un bateau, en pleine tempête, et si tu te bouges pas, tu coules. Là, bizarrement, tu bouges. Tu rames. T’hésites pas. Pourquoi ? Parce que les enjeux sont réels. Parce que tu ressens dans tes tripes que l’inaction = la noyade.

Dans la vraie vie, t’as pas cette tempête. T’as des petites vagues chiantes, mais rien d’assez violent pour t’obliger à bouger ton cul. Alors, tu procrastines. Tu fais du sur-place. Tu fais semblant de réfléchir, alors que t’es juste en train de fuir.

Le déclic, c’est pas une idée. C’est une PUTAIN DE DÉCISION.

Voilà le truc : tu n’as pas besoin d’un autre conseil. Tu n’as pas besoin d’un autre bouquin. Ce qu’il te faut, c’est décider. Pas demain. Pas quand tu te sentiras prêt. MAINTENANT. Parce que tu te sentiras jamais prêt. Jamais. La clarté vient en marchant, pas en attendant.

T’as envie de changer ? Bouge. Un petit pas. Même bancal. Même moche. C’est pas important. Ce qui compte, c’est de casser l’inertie. Par exemple : tu veux écrire ? Écris une page aujourd’hui, même si c’est de la merde. Tu veux lancer ton business ? Appelle un prospect, même si tu bégayes. Tu veux arrêter de fumer ? Balance ton paquet, même si ça te fout la trouille.

Et là, tu vas commencer à sentir le pouvoir de l’action. Parce que bouger, ça crée une dynamique. Ça donne du momentum. C’est comme pousser une bagnole en panne : au début, c’est lourd. Mais une fois lancée, ça roule. T’as pas besoin de motivation ; t’as besoin d’élan.

Arrête de te raconter des histoires.

Pose-toi une vraie question : à quoi ça te sert de rester bloqué ? Ouais, ça te sert à quelque chose. Sinon tu le ferais pas. Peut-être que ça te protège de l’échec. Peut-être que ça te permet de dire « je pourrais le faire si je voulais » et de jamais tester tes vraies limites. Mais cette merde confortable, elle te coûtera cher. Chaque jour où tu restes là, immobile, c’est un jour que tu n’iras jamais chercher. C’est un jour volé à ta propre vie.

Et merde, mec, tu mérites mieux. Tu mérites de te battre pour toi. Pas dans six mois. Aujourd’hui.

Le rêve, c’est pas demain. C’est maintenant.

Imagine-toi dans un an. T’as pris ces décisions. T’as osé. T’as galéré, ouais, mais t’as avancé. Tu te regardes dans le miroir et tu vois quelqu’un qui a eu les couilles d’essayer. Pas juste un type qui a des idées brillantes mais les fesses collées au canapé.

Parce qu’au fond, c’est ça le vrai kiff : savoir que t’es en train de jouer. Pas que t’es resté sur le banc. Alors bouge. Même petit. Même imparfait. Même flippé. Mais bouge. Parce que c’est en bougeant que tu crées la vie que tu veux.

Je te le dis cash : personne va venir te sauver. C’est toi contre toi. Mais bonne nouvelle : t’es plus puissant que tu crois.

Alors, tu fais quoi ? Tu te lèves ou tu continues de te plaindre ?

Guido SAVERIO