Tout le monde s’en fout de tes excuses. Toi y compris.

Écoute-moi bien. Personne n’a signé pour écouter ton catalogue d’excuses. Pas même toi. Chaque fois que tu dis « ouais mais j’ai pas le temps », « j’suis fatigué », « j’suis pas prêt », tu crois que tu bâtis un mur pour te protéger. Mais ce mur, mec, il te COUPE de ta propre vie. Et devine quoi ? Ce mur, personne n’en a rien à foutre. Parce que pendant que tu le consolides, les autres avancent, construisent, créent. Et toi ? Tu tournes en rond derrière tes briques, en attendant je sais pas trop quoi… la permission de vivre ?

Regarde bien : la vérité, c’est que tes excuses te saoulent toi-même. Au fond, tu SAIS que tu pourrais mieux faire. Tu SAIS que ce projet, ce rêve, cette putain d’envie de changement, tu l’étouffes sous des « plus tard ». Et plus tard, c’est juste un joli mot pour dire jamais.

Alors pose-toi la vraie question : est-ce que tu veux des résultats ou est-ce que tu veux continuer à te raconter des histoires ? Parce que la vie, c’est pas Netflix. Y’a pas de bouton pause. Chaque matin, tu joues. Chaque soir, t’as perdu ou t’as gagné. Point.

Et si tu penses que c’est trop dur ? Parfait. Ça veut dire que c’est exactement ce que tu DOIS faire. T’es crevé ? Bouge quand même. T’as peur ? Avance quand même. Parce qu’à la fin, ton futur toi te jugera pas sur tes excuses, mais sur tes putains d’actions.

Imagine : un jour, tu te réveilles et tu réalises que t’as tenu parole. Que t’as fait ce que t’avais promis. Que t’es passé de « j’aimerais bien » à « c’est fait ». Ça, mec, ça n’a pas de prix. Et tu sais quoi ? Ça commence aujourd’hui. Maintenant. Pas demain. Pas lundi. Maintenant.

Alors lève-toi. Bouge ton cul. Arrête de négocier avec ta flemme. Fous-lui une gifle et reprends le volant. Parce que personne va venir te sauver. Mais putain, c’est ça la bonne nouvelle : personne va venir te sauver. C’est TOI ou rien.

Et crois-moi, y’a rien de plus puissant que de se choisir soi-même.

Guido SAVERIO