Bon. Assieds-toi. Ou non, reste debout, ça va secouer un peu. Parce qu’il est temps qu’on parle vrai. Tu dis que tu veux changer de vie. Tu veux plus d’argent, plus de liberté, plus d’amour, plus de sens. Tu veux la totale, le package complet, le truc qu’on te vend sur Instagram, avec les palmiers, les mojitos et les sourires Colgate. Mais laisse-moi te poser LA question : est-ce que tu veux vraiment tout ça… ou est-ce que tu veux juste arrêter d’avoir mal ? Parce qu’il y a une putain de différence.
Arrête le bullshit. Regarde-toi en face.
Tu vois, la plupart des gens ne veulent pas changer. Ils veulent éviter. Éviter l’inconfort. Éviter les conversations difficiles. Éviter d’avouer qu’ils ont foiré. Mais voilà le hic : tant que tu refuses de regarder tes propres mensonges en face, tu construis ta vie sur du sable. Et spoiler alert : le château va s’écrouler. Alors, premier conseil concret : prends un carnet. Note noir sur blanc les mensonges que tu te racontes. « Je suis trop vieux. Trop occupé. Pas assez doué. J’ai pas les contacts. » Chaque excuse est une brique dans la prison que tu t’es toi-même construite. Tu veux sortir ? Commence par péter les murs.
Le rêve, c’est pas Netflix. C’est transpirer.
Ouais, je sais. Ça fait chier. Mais changer de vie, ça veut dire suer. Ça veut dire se lever une heure plus tôt même quand t’es claqué. Ça veut dire dire « non » à la bière du vendredi parce que tu bosses sur TON projet. Ça veut dire t’affirmer, même si les autres lèvent les yeux au ciel. Imagine-toi dans six mois. Pas dans six ans, non. Six putains de mois. Si chaque jour, tu tiens juste UNE action alignée avec ce que tu veux… où tu seras ? Je te le dis : t’auras déjà mis un pied dehors. T’auras déjà une victoire.
Le vrai luxe, c’est l’intégrité.
Parce qu’au fond, ce que tu cherches, c’est pas juste le résultat. C’est la cohérence. Le bonheur, c’est pas une destination, c’est le kiff de devenir la personne que tu dis vouloir être. Chaque fois que tu fais ce que t’as promis à toi-même, t’empiles une brique sur l’estime de toi. Chaque fois que tu lâches… tu creuses. Simple. Radical. Ça fait mal, ouais. Mais ça guérit.
Alors aujourd’hui, fais ce premier putain de pas. Pas demain. Pas lundi. Pas après les vacances. Maintenant. Ferme cet écran et pose UNE action qui dit « j’arrête de me mentir ». Une seule. Envoie ce mail. Ouvre ce fichier. Dis ce « non » qu’il faut dire. Parce que personne va venir te sauver. C’est toi ou rien.
Guido SAVERIO
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